« C’est inutilement violent », estime Laurence Rossignol, en réaction au propos d'Anne Hidalgo qui a parlé "d’immense gâchis" du quinquennat de François Hollande, dans une interview au Monde. « Elle tangente sur ce qui est la règle de la primaire, c’est-à-dire l’engagement à soutenir le candidat ou la candidate qui sortira du vote de la gauche ».